Comment l'électrothérapie peut-elle aider les employés à être plus productifs au travail?

June 3, 2024

Des millions de Canadiens souffrent de douleur, avec environ 1 personne sur 5 touchée par la douleur persistante. En 2018, l'absentéisme au Québec représentait 7 % du temps de travail, coûtant entre 16 et 17 milliards de dollars aux entreprises.

Saviez-vous qu'une personne souffrant de douleur persistante s'absente en moyenne entre 9,3 et 16 jours par an?


Ces absences, ainsi que le présentéisme (lorsqu'un employé est physiquement présent, mais peu productif en raison de la douleur), peuvent avoir des conséquences importantes sur la productivité globale d'une entreprise. 


C'est ici qu'entre en jeu l'électrothérapie. Utilisant des appareils TENS, cette solution naturelle et prometteuse peut être appliquée à toutes les phases de gestion de la douleur. Bien qu'il ne soit pas prouvé que le TENS améliore directement la productivité, il contribue à l'optimisation des fonctions en atténuant la douleur et en permettant aux employés de mieux gérer leur condition. 

 

Grâce à son application variée allant des problèmes musculosquelettiques à la douleur neuropathique, l'électrothérapie se positionne comme un incontournable dans les stratégies de gestion de la douleur au travail.


À travers cet article, nous explorerons comment l'intégration de cette technologie dans les programmes de bien-être au travail peut non seulement atténuer la douleur dont souffrent vos employés mais aussi contribuer à une amélioration de la qualité de ces derniers, permettant ainsi de réduire les absences liées à la douleur. 

 

Qu'est-ce que l'électrothérapie par le TENS ?

L'électrothérapie avec l'utilisation d'un appareil TENS représente une méthode thérapeutique exploitant de faibles impulsions électriques pour traiter diverses conditions médicales, particulièrement les douleurs et les dysfonctionnements musculosquelettiques.


Cette technique peut être utilisée à toutes les étapes d'un traitement de douleur, des premiers soins à l'optimisation de la fonction. Elle est souvent recommandée par des professionnels de santé comme les physiothérapeutes, médecins ou ergothérapeutes soulignant son intégration dans les bonnes pratiques médicales conventionnelles.

 

Les avantages de l'électrothérapie pour les employés qui souffrent de douleur

L'électrothérapie offre de multiples avantages pour les employés souffrant de douleurs, contribuant ainsi significativement à améliorer leur qualité de vie. Elle permet de gérer efficacement la douleur, offrant une solution non pharmacologique adaptée aux douleurs causées par de longues périodes assises ou des activités physiques. En réduisant la douleur, l'électrothérapie aide les employés à optimiser leurs fonctions au travail et à améliorer leur bien-être général.


Une meilleure gestion de la douleur peut aussi contribuer à diminuer l'absentéisme lié à la douleur, permettant aux employés de se sentir mieux et de retourner au travail plus rapidement. Elle réduit aussi la dépendance aux analgésiques, contribuant à un bien-être général sur le lieu de travail.


De plus, une meilleure gestion de la douleur permet aux employés de conserver une bonne humeur et d'améliorer la qualité de leur sommeil, deux facteurs essentiels pour maintenir un environnement de travail positif et dynamique. En favorisant une meilleure qualité de sommeil et en élevant l'humeur générale, cette approche contribue non seulement à une gestion efficace de la douleur, mais aussi à un bien-être psychologique accru. Ces améliorations se répercutent positivement sur la productivité et l'ambiance au travail, créant un cercle vertueux de satisfaction et de performance.

 

Pour les employeurs, cette modalité vise à réduire l'impact financier de l'absence des employés et de la baisse de la productivité liés à la douleur, ainsi que les coûts de compensation de la CNESST et des assurances.

 

Finalement, en offrant des solutions de gestion de la douleur par l'électrothérapie, les entreprises peuvent se positionner comme des employeurs de choix, intégrant un programme complet de bien-être.

 

L'électrothérapie est applicable pour une variété de conditions, y compris la douleur pelvienne, la récupération post-partum, la fibromyalgie et les migraines. Des études soutiennent son efficacité pour gérer la douleur et améliorer la fonction physique, ce qui en fait un ajout précieux aux programmes de bien-être.

 

Implémentation de l'électrothérapie dans un programme de bien-être au travail

Chez SET, nous prônons l'électrothérapie fonctionnelle, ce qui signifie que les employés peuvent utiliser leur appareil pendant le travail afin d'assurer un confort et une productivité optimale.


Nous offrons une éducation personnalisée pour chaque employé, modulant les attentes et les besoins spécifiques, et responsabilisant chacun à prendre en charge sa douleur. Grâce à une formation approfondie sur l'utilisation optimale de leur appareil TENS, les employés obtiennent un outil puissant pour avoir un meilleur contrôle sur leur douleur.


Un programme d'autogestion de la douleur avec l'électrothérapie est simple à instaurer. Vous pouvez l'intégrer dans votre programme de bien-être au travail de plusieurs manières efficaces.


Premièrement, vous pouvez proposer des services d'électrothérapie à vos employés par l'intermédiaire de votre assureur ou via votre propre programme. Cela inclut offrir un de nos ensembles comprenant un appareil TENS (NOVA), des accessoires, des séances d'éducation thérapeutiques avec un professionnel de la physiothérapie, un suivi régulier et un accès à des experts en électrothérapie.


Ces services permettent aux employés de devenir experts de leur condition, améliorant ainsi leur autonomie et leur capacité à gérer la douleur.

 

Évaluation et Suivi des Résultats

L'efficacité de l'électrothérapie peut être évaluée par des comparaisons avant et après traitement, en mesurant des indicateurs tels que la réduction de la douleur, l'amélioration de la mobilité, la diminution de l'utilisation de médicaments, ainsi que l'augmentation de la productivité au travail.


Chez SET, nous effectuons des suivis réguliers et des évaluations de suivi auprès de nos patients, qui peuvent aider à ajuster l'utilisation du tens pour maximiser son efficacité et s’assurer de l’intégration en milieu de travail.


Conclusion

L'électrothérapie par le biais d'un appareil TENS émerge comme une solution efficace pour contrer la douleur au quotidien, un problème majeur influençant à la fois la productivité des employés et le climat général au sein des entreprises.


En résumé, cette technologie offre non seulement une méthode naturelle pour le traitement de divers types de douleurs, mais également un moyen d'améliorer la mobilité et la qualité de vie des employés.


Elle s'intègre parfaitement dans les stratégies de bien-être en milieu professionnel, aidant à minimiser significativement la non-prise en charge de la douleur, tout en promouvant un environnement de travail sain.

 

Les répercussions de l'intégration de l'électrothérapie dans les programmes de bien-être d'entreprise sont significatives, notamment en termes de réduction des coûts associés aux problèmes de santé des employés et d'amélioration de la productivité globale.


Pour les employeurs souhaitant adopter cette modalité thérapeutique, il est crucial d'adopter une approche personnalisée, qui prend en compte les besoins spécifiques de chaque employé.


Pour découvrir comment nous assistons les professionnels dans votre situation à élaborer une stratégie efficace en mettant l'accent sur la santé et le bien-être des employés grâce à nos solutions d'électrothérapie, planifiez un rendez-vous avec notre équipe aujourd'hui! 


Cette approche proactive non seulement valorise le capital humain de l'entreprise, mais positionne également celle-ci comme un leader en matière de santé et de sécurité au travail.


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par Hélène Lamoureux 3 juin 2025
Imaginez vivre avec une douleur constante. Elle ne vous quitte jamais tout à fait. Parfois sourde, parfois vive, elle colore vos journées et hante vos nuits. Ce mal persistant vous empêche de bouger comme vous le voudriez, de travailler, de dormir, ou simplement de profiter d’un moment calme. Avec le temps, vous devenez plus fatigué, plus irritable, plus replié. Vous vous sentez seul, découragé, parfois même incompris. Et si ce n’était pas juste la douleur… mais tout ce qu’elle entraine autour? Ce scénario, qui est loin d’être rare, reflète le quotidien de nombreuses personnes aux prises avec la douleur chronique. Ce qui est moins souvent reconnu — même dans les milieux de soins — c’est à quel point la santé mentale et la douleur physique s’entrelacent. Elles interagissent, se nourrissent, et parfois, s’entremêlent dans un cercle vicieux difficile à briser. Ce lien entre douleur chronique et troubles de santé mentale comme l’anxiété, la dépression ou le stress post-traumatique est aujourd’hui largement documenté. Pourtant, comme le soulignent Bhatt et ses collègues (2024), « il n’y a souvent aucune reconnaissance explicite du rôle des comorbidités et de la relation bidirectionnelle entre la santé mentale et la douleur. » Les comorbidités désignent la présence simultanée de plusieurs troubles de santé qui peuvent interagir et se renforcer mutuellement. Dans ce cas précis, cela fait référence à la coexistence de la douleur chronique et des troubles mentaux. Cela signifie que, même lorsque les deux problèmes sont présents, ils sont souvent traités séparément, comme s’ils n’étaient pas liés. Et pourtant… La douleur chronique augmente le risque de développer des troubles dépressifs, anxieux ou de sommeil. Une mauvaise santé mentale, elle, peut amplifier la douleur, diminuer la tolérance physique et émotive, et nuire aux traitements. Ensemble, elles peuvent affaiblir la motivation, réduire la mobilité, altérer les relations sociales, et même compromettre le maintien en emploi. Cette combinaison, que l’on peut appeler double fardeau, est bien plus qu’une addition de symptômes : c’est un état de vulnérabilité prolongé qui demande une attention urgente. Une double peine encore trop peu reconnue Cette combinaison de douleur chronique et de détresse psychologique est souvent invisible pour l’entourage — et malheureusement aussi pour les systèmes de soins. Trop souvent, les approches thérapeutiques sont cloisonnées : d’un côté, on traite la douleur physique, de l’autre, les troubles de l’humeur, sans pont entre les deux. Pourtant, les données sont claires : ces problèmes ne sont pas juxtaposés, ils sont interconnectés. Par exemple, les personnes vivant avec un trouble bipolaire ont deux fois plus de risque de souffrir de douleur chronique que la population générale (Nicholl et al., 2014). Ces personnes sont aussi plus à risque d’exclusion sociale et professionnelle. D’ailleurs, les personnes touchées par cette double réalité contribuent à elles seules à des taux plus élevés d’absentéisme (être souvent en arrêt de travail) et de présentéisme (être au travail mais avec une efficacité diminuée). Malgré cela, comme le souligne Bhatt et al., « la douleur n’est pas normalement évaluée chez les personnes ayant des troubles de santé mentale », et l’inverse est aussi vrai : de nombreuses personnes souffrant de douleur chronique vivent avec une détresse psychologique non diagnostiquée, non reconnue… et donc non traitée. Quand la douleur et le stress deviennent nuisibles Mais que se passe-t-il lorsque ces réactions surviennent trop souvent ou persistent ? Au départ, la douleur nous aide à éviter le danger. Mais lorsque la douleur devient chronique, elle perd son rôle protecteur et devient un problème en soi. Imaginez un peu : la douleur qui ne cesse de revenir, même sans raison apparente, finit par envahir notre quotidien. Elle peut entraîner une fatigue intense, des troubles du sommeil, et nuire à notre humeur. Le stress, lui, peut également devenir néfaste. Si un stress aigu peut nous motiver à affronter une situation difficile, un stress prolongé peut perturber notre santé physique et mentale. Il affaiblit notre système immunitaire, provoque de l'anxiété, et peut mener à des problèmes de concentration ou de dépression. Le stress chronique est un véritable piège : il transforme un mécanisme de survie en un fardeau permanent. Quand on ne traite qu’un côté de l’équation En ignorant une des deux dimensions — mentale ou physique —, on risque des échecs thérapeutiques répétés. Un plan d’intervention qui mise uniquement sur l’activité physique, sans tenir compte d’un état dépressif, peut être mal reçu ou difficile à suivre. À l’inverse, une thérapie psychologique qui néglige une douleur persistante et invalidante peut sembler déconnectée de la réalité vécue par la personne. Ce constat peut sembler décourageant, mais il ouvre aussi la voie à des solutions. Des pistes pour sortir du cercle vicieux Briser la spirale entre douleur et santé mentale n’est pas simple, mais c’est possible. Et surtout : ce n’est pas qu’une affaire de volonté individuelle. C’est un défi collectif, clinique et sociétal. Voici quelques leviers concrets qui peuvent faire une réelle différence. 1. Penser en termes d’interactions, pas de compartiments La première étape est de reconnaître explicitement le lien entre douleur et santé mentale. Cela veut dire former les professionnels de la santé à poser les bonnes questions, à aborder les sujets sensibles sans jugement, et à utiliser des outils qui tiennent compte de l’ensemble de la personne. Par exemple, des outils à valeur pronostique qui permettent aux cliniciens en réadaptation d’identifier les facteurs biopsychosociaux qui influencent le rétablissement, y compris l’humeur, la motivation, la peur du mouvement ou le soutien social. (Tousignant-Laflamme et al., 2023) 2. Favoriser les soins intégrés et interdisciplinaires Les soins les plus efficaces sont souvent ceux qui réunissent plusieurs perspectives : la physiothérapie, la psychologie, la médecine, le travail social, etc. Ensemble, ces approches permettent d’intervenir à la fois sur le corps, le vécu émotionnel et le contexte de vie. C’est ce qu’on appelle l’approche biopsychosociale, qui vise à comprendre comment ces trois sphères interagissent chez chaque personne. Elle est particulièrement pertinente pour les gens vivant avec une douleur chronique, car leur situation ne se résume ni à une blessure, ni à un trouble mental isolé. 3. Encourager des stratégies concrètes et accessibles Des interventions simples peuvent avoir un impact significatif sur le bien-être, surtout lorsqu’elles sont accompagnées et personnalisées : Exercice physique graduel et adapté Programmes de conscience corporelle (yoga, Tai Chi, respiration) Activités de relaxation ou de pleine conscience Thérapies cognitivo-comportementales pour mieux gérer la douleur et les émotions Éducation sur la douleur , pour démystifier et reprendre du pouvoir d’agir Ces approches sont encore sous-utilisées, souvent à cause du manque de formation ou de ressources, mais elles sont soutenues par la littérature scientifique. 4. Lutter activement contre la stigmatisation Trop souvent, les personnes vivant avec des douleurs chroniques ou des troubles psychologiques se sentent jugées, ignorées ou banalisées. Cette stigmatisation empêche de demander de l’aide ou d’avoir accès à des soins adéquats. (Roughan et al., 2021) Des campagnes de sensibilisation, des formations pour les intervenants et des témoignages de personnes vivant ces réalités peuvent briser l’isolement et favoriser une culture de soins plus humaine. 5. Reconnaître l’importance des rôles sociaux et du travail Le travail n’est pas qu’un moyen de gagner sa vie : il contribue à l’identité, à l’estime de soi et au lien social. Bhatt et al. rappellent que de bonnes conditions de travail peuvent avoir un effet protecteur sur la santé mentale, même en présence de douleur. Cela suppose de soutenir le retour progressif au travail, d’adapter les tâches si nécessaire, et de valoriser les autres rôles sociaux de la personne (parent, proche aidant, bénévole…). (Bhatt et al., 2024) Un regard plus large, une réponse plus humaine La douleur chronique n’est pas qu’un symptôme physique. Et la détresse psychologique ne se soigne pas uniquement par la parole. Ce sont des réalités complexes, enracinées dans le vécu, le corps, le contexte de vie. Vouloir traiter l’un sans l’autre, c’est risquer d’échouer. Mais reconnaître leur interaction, c’est ouvrir la porte à des soins plus complets, plus justes, plus efficaces. Références: · Bhatt, K., Palomares, A. C., Jutila, L., Rohde, I., Forget, P., & Societal Impact of Pain Platform (SIP). (2024). The pain and mental health comorbidity. Epidemiology and Psychiatric Sciences, 33, e46. https://doi.org/10.1017/S204579602400057X · Nicholl, B. I., Mackay, D., Cullen, B., Martin, D. J., Ul-Haq, Z., Mair, F. S., Evans, J., McIntosh, A. M., Gallagher, J., Roberts, B., Deary, I. J., Pell, J. P., & Smith, D. J. (2014). Chronic multisite pain in major depression and bipolar disorder : Cross-sectional study of 149,611 participants in UK Biobank. BMC Psychiatry, 14, 350. https://doi.org/10.1186/s12888-014-0350-4 · Roughan, W. H., Campos, A. I., García-Marín, L. M., Cuéllar-Partida, G., Lupton, M. K., Hickie, I. B., Medland, S. E., Wray, N. R., Byrne, E. M., Ngo, T. T., Martin, N. G., & Rentería, M. E. (2021). Comorbid Chronic Pain and Depression : Shared Risk Factors and Differential Antidepressant Effectiveness. Frontiers in Psychiatry, 12, 643609. https://doi.org/10.3389/fpsyt.2021.643609 · Tousignant-Laflamme, Y., Houle, C., Longtin, C., Gérard, T., Lagueux, E., Perreault, K., Beaudry, H., Tétreault, P., Blanchette, M.-A., & Décary, S. (2023). Prognostic factors specific to work-related musculoskeletal disorders : An overview of recent systematic reviews. Musculoskeletal Science and Practice, 66, 102825. https://doi.org/10.1016/j.msksp.2023.102825
par Hélène Lamoureux 30 mai 2025
La douleur et le stress: deux alliés pouvant devenir des ennemis
par Annie Bélanger 30 avril 2025
La réadaptation après une blessure ou une chirurgie du ligament croisé antérieur (LCA) peut représenter un défi majeur pour les professionnels de la santé, qui doivent aider les patients à restaurer rapidement la force musculaire et la fonction du genou.
par Annie Bélanger, T.Phys., Denis Pelletier, Fellow P.T. (O.P.P.Q), M.Sc. 8 juillet 2024
La douleur persistante peut être difficile à traiter. Parmi les nombreuses stratégies de traitement de la douleur non pharmacologiques, la neurostimulation électrique transcutanée (TENS) est l’une des modalités les plus appliquées.
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 27 mai 2024
Vous souffrez de douleur au bas du dos? Les douleurs lombaires, aussi connues sous le nom de lombalgies, sont un problème musculosquelettique courant et récurrent tout au long de la vie.  En effet, jusqu'à 84 % des individus pourraient connaître une douleur lombaire, et environ 55 % auront au moins 10 épisodes douloureux au cours de leur vie.
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 27 mai 2024
Les troubles musculosquelettiques constituent une préoccupation majeure de santé publique, affectant significativement la qualité de vie des individus et générant des coûts considérables pour le système de santé. (Collette et al., 2013)
rééducation pelvienne
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 13 mars 2024
Face à la complexité et la diversité des troubles du plancher pelvien, affectant jusqu'à 47% des femmes globalement, la recherche de solutions efficaces est primordiale. Ces affections, souvent sous-diagnostiquées, ont un impact profond sur la qualité de vie, entravant le bien-être physique et mental, et peuvent mener à l'isolement social. Cet article explore des approches novatrices pour la rééducation pelvienne, en mettant un accent particulier sur l'application de l'électrothérapie à domicile. En intégrant des méthodes innovantes comme l'électrothérapie fonctionnelle, nous visons à améliorer l'accès aux soins et à offrir des stratégies personnalisées répondant aux besoins uniques de chaque femme, tout en soulignant l'importance d'une collaboration étroite entre les patientes et les professionnels de la santé pour optimiser les résultats de la rééducation pelvipérinéale.
par Natalie Dzepina 12 mars 2024
Le présentéisme, un terme encore méconnu de certains dirigeants et professionnels des ressources humaines, représente pourtant une problématique coûteuse pour les entreprises de toutes tailles. Cet article vise à démystifier ce concept, à en expliquer les coûts associés pour les organisations et à souligner l'importance d'adopter des solutions efficaces pour y remédier.
incontinence urinaire
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 11 mars 2024
Cet article explore l'incontinence urinaire post-accouchement, un problème fréquent mais souvent tabou parmi les femmes actives. Malgré l'efficacité relative des exercices de Kegel, plusieurs femmes ne les réalisent pas correctement, ce qui peut aggraver la situation. La consultation d'un professionnel en physiothérapie pelvienne est cruciale pour une rééducation adéquate. Cet article met également en lumière comment l'électrothérapie à domicile, en complément de la rééducation professionnelle, peut offrir une solution innovante pour améliorer la qualité de vie des femmes confrontées à ce défi, soulignant l'importance d'une approche bien guidée et personnalisée.
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 26 septembre 2023
Mon nom est Marie-Pierre Fournier. Je suis technologue en physiothérapie depuis huit ans et propriétaire d’une clinique depuis presque trois ans.